GALERIE.
Spleen (1)
"Spleen" 1
Aquarelle sur papier Arche dimensions avec cadre: largeur 545 hauteur 745
Prix avec cadre 150 € (ajouter les frais de port)
Muséo Malaga
"Muséo Malaga"
Aquarelle sur papier dimensions avec cadre largeur 445 hauteur 545
Prix avec cadre 120 € (ajouter les frais de port)
D'après l'affiche 2016 du musée de Malaga
Chapeau blanc
"Chapeau blanc"
Aquarelle sur papier Arche dimensions avec cadre largeur 415 hauteur 515
Prix avec cadre 100 € (ajouter frais de port)
Visage d'ici et d'ailleurs
"Visage d'ici et d'ailleurs"
Aquarelle sur papier dimensions avec cadre 420 sur 420
Prix avec cadre 90 € (ajouter les frais de port)
Tango enflamada
"Tango enflamada"
Aquarelle sur papier Richard de Bas dimensions avec cadre largeur 445 hauteur 350
Prix avec cadre 130 € (ajouter les frais de port)
Navarra
"Navarra"
Aquarelle sur papier dimensions avec cadre largeur 415 hauteur 515
Prix avec cadre 80 € (ajouter les frais de port)
"Navarra" nom d'une passe de cape en corrida.
Roxane
"Roxane"
Aquarelle sur papier Arche dimensions avec cadre largeur 310 hauteur 410
Prix avec cadre 100 € (ajouter les frais de port)
Masque
"Masque"
Aquarelle sur papier Richard de Bas d'après un Bronze de Ernst Barlach dimensions avec cadre largeur 415 hauteur 515.
Prix avec cadre 120 € (ajouter les frais de port)
Pluie et couleurs
"Pluie et couleurs"
Aquarelle sur papier Arche dimensions avec cadre: largeur 520 hauteur 720
prix avec cadre 150 € (ajouter les frais de port)
Spleen (2)
Prendre l’air, sans les paroles….
Ne crie pas, n’écris pas, je ne suis plus là…
J’ai perdu mon adresse dans le feu de ton cœur.
Je me cherche dans le brouillard de mes nuits…
Ne m’écris pas, je ne saurais te lire dans cet état,
J’ai appris ma leçon, je te la réciterai par-cœur,
Je sais que pour toi, je suis un passant de la vie.
Vivre de haine, vivre sans peine, vivre sans veine…
Fuir la mort, courir dans le vide, faire du vent,
Ne plus répondre au téléphone, fermer sa porte.
Un destin en déclin, qui sur moi se referme,
Une rivière immobile, sans flux ni courant,
Je suis debout, un peu sonné, mais pas à ta porte…
J’ai perdu ton nom, me souviens plus de ton prénom.
Ton sourire, encore éclaire mes sombres insomnies,
Mais tu n’es pas celle que tu crois, tu es une inconnue.
Comme dans un roman illustré, une image sans son,
En moi s’est imprimée, mais surtout ne m’écris pas,
Je t’ai rencontré dans ce roman, une sorte de revue…
Joël Delaunay, le 30 juin 2016.
La madone
Magnifique rencontre avec la madone d'Edvard Munch au musée
Albertina de Vienne... j'ai craqué devant cette expression...