"chronique ébouriffée" deuxième partie
« Chronique ébouriffée » deuxième partie
Une expérience inhumaine
A la dérisoire illusion imparfaite,
Maladie mentale malsaine,
De certaines grosses têtes…
Les oiseaux nagent sur le dos,
Pour mieux fumer la pipe,
Encore loin de l’Eldorado,
Considéré hier comme l’archétype…
Nous avons détruit ce monde
À l’âge incertain, ou celui du calendrier ?
La terre n’était pas assez ronde,
Pour tous nos apprentis sorciers…
Nos rêves ont des cernes, sous les yeux,
Épuisés par tous ces longs voyages,
Au travers de bon nombre de cieux,
Pour trouver s’il en est, horizons plus sages…
La terre se craquelle, se fend, se fissure
Nombreux sont ses ulcères,
Vestiges de toutes sortes de blessures,
Crachant le feu en fumée de lumière…
Les étoiles une à une, peu à peu, filent,
Suppliées, par de fantasques écolos,
Le soleil perdu dans la nuit, brille…
La lune n’est plus qu’un faible halo…
L’humain est vraiment un gros connard,
Pour s’en prendre également à lui-même,
S’entre-tuer pour asseoir son pouvoir,
Au-delà de toute charité chrétienne…
à suivre.../...
"encore loin de l'eldoraro"
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