SANS PRÉTENTION, ni IMPORTANCE

SANS PRÉTENTION, ni IMPORTANCE

Vénus


Vénus.

  VENUS,

« Vénus pour toi », m'as-tu dit un soir !!! Depuis je suis perdu dans mes pensées, tu me procures rêves et songes, "Vénus est la déesse de l'amour, de la séduction et de la beauté dans la mythologie romaine". Et toi ma belle amie, tu t'es offerte à moi en tant que telle, j'accepte cette offrande comme un cadeau du ciel, tu ne pouvais me procurer plus de plaisir... Car tu ne m'as pas offert uniquement ta beauté, et ta séduction, mais également l'amour... Celui-ci envahi mes nuits.
Par tes mots de ces derniers jours, avec en apothéose le : "pour toi, Vénus", puisque je ne fais pas qu'une simple lecture de tes commentaires, mais tu me les fais tant vivre, et en sus, je t'imagine à un tel point, que te ressens comme une égérie des temps modernes. J'aurai préféré te côtoyer dans les jardins de MONET, les ateliers de CLAUDEL, les cafés théâtres de boulevard, ou bien que sais-je encore, à la comédie française, ou à ces rendez-vous mondain... Au lieu de cela, c'est par clavier interposé, que tu me fais vibrer...


Depuis ce doux billet, mon fantasme ne fait que croitre, à m'en faire rêver la nuit... Et il serait égoïste de ma part de conserver cela pour moi seul, et ne pas t'en faire profiter, toi l'instigatrice de ces doux moments d'érotisme solitaire, surtout!!! ne soit pas choquée, ne te sens pas offensée par cette écriture, influencée par la sensualité de la Vénus qui sommeille en toi... Voici ce rêve...


"Ma Chère Amie, toi la vénus de mes nuits, qui se complais de s'offrir à moi en tant que telle dans tes courriels, tu ne cesses par tes doux propos aux allusions divines, et aux visions issues de mon imagination, d'attiser en moi des désirs jusqu'ici inassouvis... Pour en transformer mon sommeil en un gigantesque champ d'amour et de sexe. Ce matin encore, juste là à mon réveil, je sens comme une tiède humidité enveloppée mon pénis, puis je me souviens t'avoir aperçu il y a quelques instants, dans la plus belle des nudités, revêtue d'un simple voile à la sensuelle transparence, tu flottais dans mon imaginaire, tes mains d'une infinie douceur, avaient eu raison de ma fausse pudeur... Jusqu'à en faire jaillir la semence du plus profond de mes désirs, longtemps retenu prisonnier en mon glaive... D'où la présence de ces traces de "salissure" sur mon ventre, et les draps. Ton sourire vainqueur, tes yeux pleins de malice, la blancheur de tes seins et de tes cuisses, donnaient encore relief à mon ardeur... Tu t'empressais de la calmer, en posant un index sur mes lèvres en guise de "chuuuttt", puis retournais poser les tiennes, là où tu venais de triompher, pour y déposer quelques baisers gourmands... Avant de disparaître dans les aurores de l'amour accompli. »

 

 

mai 2015....


04/05/2015
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