SANS PRÉTENTION, ni IMPORTANCE

SANS PRÉTENTION, ni IMPORTANCE

D


De l'austère au paradis

De l’austère au paradis.

 

Un jour par hasard,

Ne sachant que faire,

De mes vingt ans cafards,

Dans un milieu austère.

Je suis allé frapper à la porte du ciel,

Une étoile m’a ouvert,

J’ai dansé toute la nuit avec elle

En parlant à mots couverts…

Elle n’était pas seule, et pourtant

Je ne voyais qu’elle,

Son sourire femme enfant

Fascinait mes prunelles,

Depuis elle ne me quitte plus

Elle m’a fait entrer dans la vie,

Pour moi, le plus beau cadeau reçu,

De l’austère au paradis.

De l’austère au paradis.

Un jour par hasard.

 


21/11/2023
4 Poster un commentaire

Dimanche 22 octobre 2023

Dimanche 22 octobre 2023

 

Quatre-vingt-dix-sept printemps

Puis s’en va, sagement

Par un bel après-midi d’automne,

Trouvant que son heure était la bonne,

En ce dimanche pour que l’on soit là.

Ses forces ne pouvant plus aller au-delà,

Sa seule maladie connue à ce jour

Le poids des ans devenu trop lourd.

Puis sa tête était déjà un peu ailleurs,

Lui permettant encore un peu de bonheur,

En ne voyant pas en face, la vie qui se meurt,

Loin de ses vingt-ans, cet éternel bonheur.

Au-revoir belle-maman au cœur si grand et doux,

Au-revoir et un grand merci pour tout.

 

 

 


29/10/2023
4 Poster un commentaire

Dès l'aube.

 

 

 

L’aube naissante,

Dissimule à peine ta nudité.

Un cache-cache,

De clair et de sombre

Se dessine. Palpitante

Ta peau marbrée,

Mon corps se lâche,

Comme un arc en ciel

Aux couleurs éclatantes,

Pris en otage,

Entre deux tempêtes,

Le vent retient son souffle

Dans le bleu du ciel

Sans aucun nuage.

Mon cœur est en fête,

Et en toi s’essouffle.

Jolie parenthèse,

Pour une belle journée,

Tes sourires en rient

La rose se fait belle

Se refroidit la braise

En nous, abreuvés

Aux sources de la vie,

Dès l’aube.


11/02/2022
11 Poster un commentaire

Danse.

Danse.

Vers toi, j’avance.
Le regard sombre,
L’allure assurée.
C’est une danse,
Je suis ton ombre.
En tenue de soirée…

On sait où commence la danse.
Mais également où elle finit…

La fête commence,
La musique balance,
Entrons dans la danse.
Commence entre nous,
Un corps-à-corps un peu fou…
De volutes en remous

On sait où commence la danse.
Mais également où elle finit…

Nous ne faisons plus qu’un,
Tes formes se dévoilent.
Épousant les miennes
Sur des airs afro-cubains,
Comme peintes sur la toile
Évocations carpe-diem…

On sait où commence la danse.
Mais également où elle finit…

La vie s’écrit,
Se chante et se danse,
Au rythme des passions,
De désir et d’envies
Alors ce soir, on danse,
Jusqu’au bout de la nuit.


28/01/2022
6 Poster un commentaire

Des gens qui passent, les saisons aussi.

Des gens qui passent, les saisons aussi.

 

C’est avec un regard désabusé

Qu’il regarde les gens passer,

Parfois complètement engoncés

Dans leurs impers détrempés.

Les arbres ont perdus leur feuillage

Le vent par rafales tourne les pages

De leurs vies de maux et d’images,

Depuis l’abolition de l’esclavage.

 

Ils sont transparents comme du verre.

C’est l’automne ou l’hiver…

 

Plus plaisantes les moissons de l’été

A la vue des passantes exaltées

Dans leurs tenues déshabillées,

Pour une peau prête à bronzer.

Le vent s’en amuse, soulevant jupettes

Invitation pour un brin de causette,

Qui sait ! Si brunes et blondinettes,

N’ont pas quelques idées en têtes ?

 

Elles sont fines et longues comme l’épi de blé

C’est le printemps ou l’été.  

 


09/03/2021
16 Poster un commentaire

Des arts rois. ( faute d'avoir voulu y croire.)

Des arts rois. (Faute de ne pas avoir voulu y croire.)

Peindre le monde, 
Peindre la vie,
Pas cette boule ronde,
Mais celui qui pleure et sourit.
Peindre la lumière,
Du jour et de la nuit, 
Celle qui éclaire 
Et nous éblouie.
Peindre le noir,
De la nuit au clair de lune,
Le purgatoire 
De chacun et chacune.
Peindre des nues,
Avec discernement 
Peindre un regard perdu,
À court de sentiment.

Chanter l’amour
Fenêtre sur l’espoir,
Nuit et jour 
Du matin au soir.
Chanter à tue-tête
Des chants fleuris
Aux images abstraites
Et mal choisies.
Chanter juste, s’il le faut
Poser sa voix 
Sans porte-à-faux
Sur un air de je ne sais quoi ?
Chanter à la vie, et à la mort
Chanter le bonheur 
S’il existe encore,
Chanter du bout du cœur.

Jouer la comédie
Avec le plus grand sérieux
Dans des théâtres de folie,
Seul ou bien à deux.
Du vaudeville hilarant
À l’art dramatique
Le jeu de rôle important 
De l’acteur pathétique.
Jouant pour gagner sa vie,
Et donner du plaisir
À la reconnaissance inassouvie.
Jusqu’au dernier soupir.
Mourir sur scène 
Avec aux lèvres, la réplique
Comme martyre en arène
De la Rome antique.


Écrire de la poésie,
Pour l’amour des mots
Susciter des envies
Évoquer des maux.
Versifier son imaginaire, 
En suggérant des images 
Par le jeu des vers 
Quand parle le sage.
Peu importe la poésie.
Si complexe et variée,
Qu’elle rime avec ma vie,
À laquelle, je suis attaché.
L’important, c’est d’aimer,
Puis le peindre en couleur, 
Le jouer et le chanter
Le dire avec les mots du cœur.

Désarroi impitoyable,
Pour moi le troubadour
De n’être pas à la table 
Des rois de l’amour..
Ma peinture dégouline.
Ma voix déraille.
Mon rôle chagrine
Mes vers tressaillent…

Il est trop tard pour moi,

Je n’y ai pas cru étant jeune

Sans jouer les rabat-joie

Je me raisonne…

Mon plaisir est grand

De  pouvoir m’accomplir

Bien modestement,

Dans ces divers plaisirs…

 

Merci à vous.

 

 


15/01/2021
10 Poster un commentaire

Des chemins qui ne vont nul part...

Des chemins qui ne vont nul part…

 

Évasion, rêve d’évasion
Parenthèse et résolutions,
Partir… En finir… Ne plus revenir…

Décision à mûrir, en devenir.

Comme une mer qui se déchaîne,
Sans alerte météo…
Pour un simple mot,
Qui parfois en appelle à la haine…
Où a-t-il sa tête ? Pour en arriver là !
Quant à elle, par trop fatiguée
D’un amour sans cesse érodé
De ces remous, aux inutiles mea-culpa
Qui ! Avec des mots usés par le temps,
N’auront plus aucun effet,
Sur son union faite de regrets…
Excepté, de voir grandir ses enfants.

Évasion, rêve d’évasion
Parenthèse et résolutions,
Partir… En finir… Ne plus revenir…
Décision à mûrir, en devenir.

Sans aucun horizon à explorer à deux
Un flou qui s’installe comme univers,
Entre eux, s’éteint la sainte lumière.
L’obscur remplace l’éclat de leurs yeux…
Elle regarde autour d’elle ! Même décor,
Quelques amies sont aussi dans l’inconnu,
Qui sont donc ces hommes incongrus ?
Préoccupés, par leur seul propre sort…
Pas d’amant pour combler son mal d’amour,
Peut-être, par peur d’un copié-collé ?
Juste une furieuse envie de liberté…
Quand se profile ce point non-retour…

Évasion, rêve d’évasion
Parenthèse et résolutions,
Partir… En finir… Ne plus revenir…
Décision à mûrir, en devenir.

Entre eux, plus aucun échange de sourires,
Quand de très rares occasions
Loin, très loin de toute passion,
Juste pour un lointain et heureux souvenir…
Peu lui importe l’amour maintenant,
Excepté ! Celui qu’elle pourrait apporter,
Aux pauvres gueux, oubliés de l’humanité,
Cela en devient pour elle, un aboutissement.
Mais pour lui ! La pire des trahisons
Et ce n’est pas quelques notes de guitares,
Grattées dans une solitude alcoolisée d’un soir,
Qui la fera revenir, à une bien triste raison…

Évasion, rêve d’évasion
Parenthèse et résolutions,
Partir… En finir… Ne plus revenir…
Décision à mûrir, en devenir.












30/08/2020
22 Poster un commentaire

Dormir, c'est mourir un peu.

Dormir, c'est mourir un peu...


Il est tard
Je vais ranger mes yeux
Dans le noir
Puis contempler les cieux.


C'est l'heure du silence des mots,
Ne s'écrivant plus que dans la tête.
Sans vélin, ni crayon ni stylo
Juste un vol de pensées secrètes.


Retardant mon endormissement précaire,
Ou bien réveillant mon sommeil,
Plongé dans des troubles imaginaires,
Je sais déjà, que demain soir, ce sera pareil.


Dormir, c'est mourir un peu...

 


28/01/2019
11 Poster un commentaire

Décembre.

Décembre.

Sombre dehors,
J'explore les cieux.
Point de lumière encore,
J'imagine tes yeux.
S'illumine mon univers,
En cette fin d'automne.
Bientôt, naît l'hiver.
Chaleur tu me donnes.
Mille baisers franco de port.
Je t'envoie passionné.
Avec amour sur ton corps
Je voudrais les déposer...
Reviens moi, adorable.
Créature imaginée.
Marre du portable,
Aux amours simulés.


15/01/2019
6 Poster un commentaire

Des mots, au fil des maux.

Des mots, au fil des maux…

 

 Des mots au fil des maux.

Des mots qui soulagent
Là où ça fait mal
Peu importe ton âge.
Même si ce mot est banal…

Des mots, au fil des maux.

Des mots compliqués à dire,
Devant de chaudes larmes,
Pourtant si simple à écrire,
Pour apaiser une âme...

Des mots, au fil des maux.

Des mots nés pour aimer,
D’autres destinés aux adieux
Ces mêmes mots déclinés
Peuvent parfois mettre le feu.

Des mots, au fil des maux.

Des mots parlés ou chantés,
Et toujours ce même refrain,
D’un amour s’étant brisé,
Pour un éternel chagrin.

Des mots, au fil des maux.

Des mots menteurs,
Aux sublimes affronts
À fendre les cœurs,
Des anges et démons.

 

Des mots, au fil des maux.


Des mots dits 
Pour la première fois,
Jamais écrits,
Laissant pantois.

Des mots, au fil des maux.

Des mots, roses fleurs,
Laissant craindre le pire,
Dans la joie et la peur,
Entre deux sourires.

Des mots, au fil des maux.

Des mots couverts,
Chargés d’accents flatteurs 
Au persiflage pervers,
Débordant de rancœur.

Des mots, au fil des maux.

Des mots durs très durs,
Dit dans la colère,
Que l’on jette à la figure
Sans aucune manière

Des mots, au fil des maux.

Des mots pour tout dire
D’autres pour tout taire,
Parler pour ne rien dire,
Pensant toujours plaire…

Des mots, au fil des maux..

Des mots comme des prières,
Pour faire bonne figure,
Piochés dans un bréviaire,
Sans honte de parjure…

 

Des mots, au fil des maux.

Puis il y a ces mots clefs !  

Qui ouvrent les portes…

Sans pour autant oublier,

Les risques que cela comporte…

 

Des mots, au fil des mots.

Des mots qui sous la couette,
Comme des anguilles, se glissent.
Tourne la tête, tourne les têtes.
Place au feu d’artifice…

Des mots, au fil des mots.

Des mots murmurés au lit
À la recherche du désir,
Taquinant l’objet du délit,
Pour accéder au plaisir.

 

Sans oublier les mots du silence.



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


18/08/2018
27 Poster un commentaire

Des murs et des murs...

Des murs et des murs…

 

Des murs et des murs, encore des murs !
À n’en plus finir…
Des murs sans porte,
Sans sourire, mais avec des soupirs,
Qui se transmettent et se colportent.

Des murs et des murs, encore des murs !
À perte de vue…
Avec des fenêtres bleu ciel
Peintes à même la pierre vécue,
Qui hantent et ensorcellent.

Des murs et des murs, encore des murs !
Jusqu’au bout de la vie…
Des murs pour s’exprimer,
Dans "l’art mur" inassouvi,
Le « le Streets art nouveau » est née…

Des murs et des murs, encore des murs,
Des murs, murés,
Dans les silences de l’oubli,
Ou en recueillements commémorés,
En l’honneur d’origines anoblies…

Des murs et des murs, encore des murs !
Des murs sans bruit…
Écoutant plus, qu’ils  causent,
Parfois au détriment d’autrui,
Emporté dans une véritable psychose…

Des murs et des murs, encore des murs !
Des murs de l’enfer…

Résistant aux mille feux
Des péchés les plus réfractaires,
Aux repentis douteux…

Des murs et des murs, encore des murs !
Et des contre-murs…
Forteresses imprenables,
Souterrains aux odeurs de fumures,
Geôles de pauvres diables…

Des murs et des murs, encore des murs !
Des murs de pierre…
Taillées hier, par la main humaine,
Certains plus que séculaires,
Érigés en fiers dolmens…

Des murs et des murs, encore des murs 
Des murs que l’on illumine, 
Dans un immense théâtre de verdure, 
Les soirs de fête sur la colline,
Dominants de toutes leurs envergures…

Des murs et des murs, encore des murs !
Murs du militaire…
Pour ceux qui l’ont fait sans hésiter,
Pour ne pas faire la guerre,
En allant embrasser, dame liberté…




 


01/08/2018
22 Poster un commentaire

Délires de Noël.

Délires de Noël…

 

Octobre, novembre,
Déjà, l’année se termine,
Ma mémoire chagrine,
Je n’ose parler de décembre…
Grande mascarade de Noël,
Véritable, trouble-fête,
En ce jour de prophète…
C’est le monde du réel,
Qui domine la croyance,
Détruisant le spirituel
Pour asseoir son virtuel,
Victoire et force de la finance.

Ma mémoire chagrine,
Mon cœur se fissure,
Grave est sa blessure,
Aux coulées sanguines.
Le monde entier s’aliène,
À en perdre toute dignité,
Sans force ni volonté,
Perdant valeur citoyenne,
Pour combattre le mal,
Faute peut-être de savoir ?
Plongé qu’il est dans le noir,
Différencier le bien du mal ! 

Ma mémoire chagrine la nuit,
Les lumières s’éteignent,
Un cycle termine son règne,
En des non-sens interdits…
Je vais finir par me dégoûter
Je ne peux être différent d’eux ?
Comme eux, je ferme les yeux,
À n’en voir que mon intimité.
Pour quand la fin de la faim ?
L’accès aux soins pour tous ?
L’école en toute cambrousse ?
Les injustices auront-elles une fin ?

 

Ma mémoire chagrine, 
Je soulage mon inconscience,
Écrivant dans l’indifférence,
Mon impuissance rumine,
Je me lamente sans rien y faire
Si ce n’est regarder l’humanité 
S’entretuer sans répit, sans pitié.
À en faire pleurer la terre…
Qui ! De la force, de la foi, des lois ?
Vaincra, pour une ère nouvelle,
Sans ne plus parler de Noël…
Sans enfer ni paradis ni au-delà…

Ma mémoire chagrine,
Nul messie, point de sages ?
Pour un éventuel sauvetage.
Stress, et poussées d’adrénaline,
Pour oublier, faut tout oublier
Les religions, les politiques,
Et les mémoires symboliques.
Ne pas reconstruire un passé.
Ne pas reproduire l’avant…
Le monde, le demi-monde,
Le tiers-monde, le quart-monde
Il est possible de vivre autrement.


Ma mémoire chagrine,
J’aurai tant voulu, aimé d’avantage,
Et cela depuis mon plus jeune âge,
Isolé dans mon univers de mésestime,
Mer, ou désert de méconnaissance,
Pour cause de n’avoir jamais cru en l’avenir,
Et donner à un inconnu ma tête à remplir,
À moi de trouver et d’orienter ma croyance… 
Sans ne rien prouver, de moi j’ai assez parlé
Alors par ces mots jeter sur ma page blanche,

Pour me justifier, ou alléger ma conscience ?
Je balance ces mots du cœur ! Épris de liberté…

Il m’arrive de me détester de me haïr,
Quand j’ai peur, ou par trop je doute,
Si de plus le manque de courage s’ajoute,
Je deviens un autre, prêt à défaillir.
Où suis-je moi-même cachant ma colère ?
Pouvant exploser à tout moment,
Pour en découdre jusqu’au sang,
Avec juste quelques explications lapidaires...
Je voudrais connaître la pitié et la compassion,
Avoir encore un cœur et des sentiments,
Ne pas venger le crime, par le même châtiment,
Mais le 13/11/2015 ! où était la  justification.

 

 

 

 

 


13/11/2017
15 Poster un commentaire

Dialogue

Dialogue.

 

(E)
Difficile matin qui m’extirpe de mes rêves
Le monde m’agresse, me tire sans trêve,
Doucement j’ouvre les paupières,
Commence à décroître les heures irrégulières.

(L)
Mes pensées premières, déjà vagabondent,
Vers celle qui cette nuit m'emporta dans ses rêves,
Pour de beaux voyages au travers du monde,
je ne veux rien manquer d'elle, les heures sont brèves...


(E)
Déjà les notes enfumées et empressées
Me parviennent à travers toutes les pensées
Qui volètent et traversent les rideaux fermés
Songes d'une fin d'été, à l'ouverture d'un automne ambré


(L)
Faut-il se faire une raison, et subir les saisons,
Ou bien donner la liberté à nos rêves éveillés,
de voler de nuit en nuit de maison en maison,
Pour ne laisser point mourir, nos amours d'été...


(E)
Éveil ou sommeil
À chacun de choisir
Il n'y a pas de mauvais conseils
Juste distinguer le pire.


(L)
Les rêves sont-ils vraiment innocents,
tout en cherchant rejoindre la réalité?
Conduit en cela par notre subconscient?
Au diable la pire des vérités...


(E)
Jeu ou feu
La folie est souvent attachée
À la plus noble des idées
Elle nous mène là où elle veut.


(L)
Point de vie sans passion, sans douce folie
Et par trop de raison, pour être heureux,

Quelques brèves d'amour rompent l'ennui,
Nous laissant souvenirs croustillant et savoureux...


(E)
La folie m'a menée dans bien des chemins
J'ai failli perdre tout mon latin
Depuis j'aspire à des matins sereins
Où le calme et la plénitude écarteront les déceptions.


(L)
La mémoire semble être mère de la sagesse,
Puisqu’elle est également source d’expérience...
Par trop souvent elle rapproche de la vieillesse,
Je m’en remets donc aux mains de l’insouciance…


Dialogue par quatrains interposés entre elle (E) et lui (L) écrit à quatre mains… cela a commencé par un commentaire de ma part le premier L, sur un post le premier E qui était un post de Mme.Anneh CEROLA  puis cela s’est enchaîné … voilà vous savez tout…

 

 

 

 

 

 


06/10/2017
6 Poster un commentaire

D

Dur combat, bel exemple

Des lendemains qui se ressemblent....

Dame bleue... Ou rêve bleu

Destins

Déesses de l'amour

Dieu, n'habite plus a cette adresse...

Dernière escale

Des rires et des pleurs...

Dites-le moi, dites-le moi....


29/08/2017
2 Poster un commentaire

Ces blogs de Arts & Design pourraient vous intéresser