L'espoir
L’espoir…
L’espoir fait vivre, je vis !!! Donc j’espère…
Espérer en la vie, a un bonheur universel,
Quand l’espoir se symbolisera en lumière,
Ceignant la terre d’un immense arc-en-ciel…
Quand on pense qu’il y en a plus, il y en a encore,
Si mince soit-il on s’y accroche, comme à une bouée,
Dans un océan, aux creux de terribles accores…
Il se prie, il se veut généreux, il est aussi désolé…
Il est vrai parfois, que tout de lui semble perdu,
Quand il réapparait, coiffé de son panache vert,
Que tu le retrouves, en messie tant attendu,
Tu manges alors la vie, en dormant les yeux ouvert,
Ne voulant plus le perdre et gagner sa confiance,
Aristote nous a dit, « l’espoir est un rêve éveillé, »
Peu importe notre foi et nos croyances,
Il faut toujours croire en lui, quand bien même athée.
Associons l’optimisme, la confiance, avec l’espoir,
Plus rien alors ne devrait pouvoir nous atteindre,
Telle une lueur nous guidant dans le brouillard,
Retrouver l’amour, qu’il nous presse de rejoindre.
Il est le rare ami, à ne jamais perdre, mais a bien aimé
Loin devant le nord, le temps, l’estime et l’honneur,
Avec lui !!! Rien, ou tout n’est jamais désespéré,
Tant quand nous, s’entend battre un cœur…
Aujourd’hui, je conserve l’espoir, bon an mal an,
Qu’un jour les humains aimeront l’homme,
Et de ne plus voir mourir des enfants,
Aristote, avait raison… était-il médium ?
Espoir…
On peut le dire ou le chanter, l’écrire ou l’épeler,
« Espoir » est un mot noir dans le dictionnaire,
Perdu parmi les mots qu’il nous faut démêler,
Il dort sur le papier, muet, même ordinaire.
Cueillons-le sur la page ainsi qu’un papillon
Qui recherche une fleur parfumée, odorante.
Il s’arrime en nos cœurs comme un ardent rayon
Il prend couleur et vie, et se vêt d’amarante.
Je l’ai vu dans les yeux de ce vieux couple uni
Rêvant d’une pendule qui suspendrait le temps.
Dans le regard de ces pauvres gens démunis
Vivant dans l’attente d’un avenir plus brillant
Espérons ! Espérons ! C’est le mot qui console.
Elpis déesse de l’espoir aimée des Dieux,
Portant sa corne d’abondance, nous cajole
Ne la laissons pas fuir sous des cieux ombrageux.
L’espoir est partout pour qui sait bien s’en saisir.
Quand le soleil se couche, les étoiles apparaissent.
Si la pâle lune en son quartier se retire
Dame Aurore s’élève, porteuse de promesses.
« L’espoir du meilleur est déjà le meilleur »
Texte à deux mains, pour un espoir encore plus grand….
JOAN, septembre 2015
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