"chronique ébouriffée" 1ère partie
UN CROQUIS AU CRAYON NOIR " LA SOLITUDE" POUR ILLUSTRER CETTE CHRONIQUE
« Chronique ébouriffée » 1ere partie.
Un chemin qui nous est inconnu,
Nous menant nulle part ailleurs.
Décrit simplement sans retenue,
Pour le pire et le meilleur…
La mer est blanche, très blanche,
L’hiver la couvre de neige…
Ce matin je crois, c’est dimanche ?
Avec son lot attendu de privilèges…
Malgré tout la mer est blanche,
Mais vraiment très blanche ???
Les requins sont marteaux,
Les poissons sont lunes.
Les bateaux patinent et glissent,
Entre deux avalanches,
Heureux qui comme Ulysse…
Traversant sa propre existence…
Les sirènes font du ski de fond
Sur des vagues de congères…
Alors qu’en vain des anges blonds,
Voudraient éteindre les feux de l’enfer.
Des matelots figés sur le pont,
Comme des statues de cristal,
Ayant perdus leurs harpons,
Ne pourront assouvir leur fringale...
Les avions sans réaction se noient,
Dans un ciel inondé,
De passagers sous la pluie, sans tuba,
Ne pouvant plus respirer…
.../... à suivre.
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