Les gladiateurs de l'arène...
Les gladiateurs de l’arène*(1)
Ou l’hystérie de l’arène*.(2)
Un jour à la cour Ibérique*(3),
En toute déliquescence.
Jeux d’amour, jeux antique
En totale jouissance
La reine avide d’amour,
Après avoir lu ses poèmes.
Crie gloire au troubadour !
Mais que se donne la reine ?
Un soir elle le fit chercher,
Puis au rythme de ses vers,
Par une belle nuit étoilée,
Elle s’envola en l’air…
En ville, personne ne le revit,
On dit qu’il devint l’esclave,
D’une reine, jamais assouvie
En demande de douceur suave.
L’arène à la mise à mort
Envahi par un grand silence,
Le taureau a tué le toréador.
La corrida perd de sa brillance…
La bête n’a pas pour autant
Vaincue et sauvé sa peau,
Le public hystérique et dément
Réclame la mort du taureau…
Le taurin sera abattu
Le troubadour également,
Aucun n’ayant convaincu !!!
Il lui fallait changer d’amant…
Même si l’histoire s’en défend
Il paraît que les deux condamnés,
Reçurent le même châtiment,
Et « queue l’on », leur aurait coupé…*(4)
Quand de la reine on est troubadour
Mieux vaut écrire comme un ange,
Que jouer sur les mots de l’amour,
Sans être apte de tenir le challenge…
Dans l’arène le taureau est mort,
Après avoir remporté son combat,
Il aura montré qu’il était le plus fort,
Sans pouvoir ouvrir les débats…
Attention de provoquer trop de désir,
Sans être certain de pouvoir le gérer….
Puisqu’un jour nous devons mourir,
Mieux vaut partir sans s’excuser…
*(1) ou la reine
*(2) ou la reine
*(3) c’était av J.C. (hihihihi)
*(4) et qu’on leur aurait coupé…
Toute ressemblance quelconque à un fait réel,, ayant un rapport avec cette fable (aux morales contradictoires) purement imaginée par votre serviteur, serait totalement fortuite.
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 71 autres membres