SANS PRÉTENTION, ni IMPORTANCE

SANS PRÉTENTION, ni IMPORTANCE

Au diable les préjugés.

Au diable les préjugés.

 

Le jour où amour et rage,

Feront enfin bon ménage,

Je pourrai alors  t’aimer,

Sans avoir à te faire pleurer…

 

Désormais ton sourire en image,

Enfui, envolé de sa cage,

Dans un élan de liberté,

Vers un amour à retrouver…

 

Terminé ces combats de plage,

Entre mer et rivages,

Lutte mortelle, contre les rochers,

D’un océan, en folie enragée.

 

Plus questions de corps sages,

Sans pour autant parler de libertinage,

Les années nous éloignent de la frivolité,

Et nous rapprochent d’une fin annoncée…

 

Laissons-nous aller à quelques marivaudages,

L’amour et le sexe ont l’élégance de l’âge,

Au diable toutes sortes de préjugés,

 Empêcheurs à tout jamais, de bien s’aimer…

 

Ne parlons pas de pudeur, et d’outrage,

Emportons le bonheur, en nos bagages,

Fuyons ces grenouilles de bénitiers,

Pour trop longtemps encore, mal-baisées…

 

Joël Delaunay Septembre 2015



06/04/2021
17 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Ces blogs de Arts & Design pourraient vous intéresser

Inscrivez-vous au site

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 71 autres membres