Elle s'appelait Automne.
Elle s’appelait Automne.
Automne comme tu es belle
Dans tes habits de couleurs chaudes,
Nous avons remisé les ombrelles.
Puis tu nous invites à la baguenaude…
Sous ton soleil encore vif et ardent
Tu es très attirante de par tes charmes,
Nous faisant de toi, tes parfaits amants,
Oublié les amours d’été et les larmes…
Automne ! Si parfois tu nous frisonnes
Moi ! J’en retire une telle jouissance,
Quand dans ton lit, je m’abandonne
Pour en retirer toute la quintessence…
Quand soudain par un triste matin,
Tu deviens froide, blanche et brumeuse,
Dissimulant le soleil d’un voile chagrin.
Des arbres ! Tu deviens la déshabilleuse…
Tu te joues de l’été qui pourtant perdure,
Je te vois l’abandonné, alors en douleur !
Pour un nouvel amant connu pour sa froidure,
Mais au regard si pur et ensorceleur.
J’allume la cheminée, à la douce chaleur,
Tout comme mon cœur fou tant aimé,
Offre-moi ton corps sublime de pâleur,
Devant cette magnifique flambée…
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