Septembre.
Septembre.
Septembre, l’été peu à peu se déshabille,
Se dépouillant de ses fantasmes inassouvis,
L’automne, sitôt, s’empare de ces guenilles.
Pour en faire des souvenirs aigris.
Septembre, le soleil redescend sur terre.
Oublié ! Ces corps dénudés à dorer sur demande,
Notre regard le rejette de l’été salutaire.
Le considérant comme un mois sans légende…
En septembre, passes en automne nos sentiments,
Emportés par les précoces pubs de noël,
Comme des feuilles mortes dansant avec le vent,
Au son de l’accordéon, sur un air intemporel.
Peinture à l'huile sur carton toilé format carte postale
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