LETTRES
je vous écris Madame...
Le 1 er. Octobre 2017 Madame.
Je vous écris une lettre Madame, car le cœur m’en dit, avec des mots que mon cœur mendie de villes en villes, de portes en portes, dont celles du bonheur, de l’amour de la sagesse, puis bien d’autres encore, ces mots, je les ai écrit avec un rayon de soleil dans un petit coin de bleu, vestige d’un été migrateur parti ailleurs, dans ce grand ciel gris de ma bien belle Normandie d’octobre.
Lisez-moi, oui, lisez-moi avant la prochaine pluie qui viendra noyer de ses sanglots d’automne, mon amour ainsi déclaré.
Autant de mots autant de feuilles qui volent et volent encore, unis par des phrases en phase avec la nature, la saison qui ne chagrine uniquement les âmes oubliées, regardant nostalgique les fanes tomber. L’amour se cache en cette saison, plus discrète qu’au printemps période éclaboussée de lumière en fleurs, bien moins qu’en été également, par trop volubile et sophistiqué… Alors que l’automne offre dans sa douce torpeur mélancolique, le temps de caresser les mots qui viendront égayer vos soirées bucoliques.
Je vous écris de mon nuage, là où le vent vient tourner les pages tout en séchant l’encre de mes songes chimériques. Je vous écris cette lettre, sans vous la poster, à vous d’en deviner l’existence, mes pensées effleurent les vôtres mes rêves plongent dans vos nuits, comme un poisson volant, étoile des océans, étoile des mers apprenez à m’aimer tout simplement.
Je vous aime, je vous aime tant, passe, passe le temps, le temps des cerises est bien loin celui des pommes, du cidre et du vin est bien là, à nous rosir les joues, puis cet amour qui de nous se joue, je vous aime d’un cœur fou, fou d’orage quand tombe la pluie, pleur le ciel pour qu’on ne l’oublie, je vous aime par tous les temps, de tout temps, je vous aime tout le temps qui passe, passe le temps celui des amants, celui qui se meurt en cœur saignant… Je vous aime passionnément, je vous le dis sans détour, juste en vous faisant la cour, mes baisers vous le prouveront, ce n'est pas du bouche à bouche, mais ce sont des braises ardentes… Ils ranimeront l’amour qui sommeille en vous… J’ai envie de vous serrer contre mon cœur, vous enlacer, vous parler tout bas, vous couvrir et vous brûler de mes caresses. J’ai envie de vous écrire des mots, les mots du silence dans l’oubli d’un matin, quand la pâle couleur du jour court après le soleil… Je vous aime, Madame…
JoDe.
le 1er octobre 2017 Madame
Le 1 er. Octobre 2017 Madame.
Je vous écris une lettre Madame, car le cœur m’en dit, avec des mots que mon cœur mendie de villes en villes, de portes en portes, dont celles du bonheur, de l’amour de la sagesse, puis bien d’autres encore, ces mots, je les ai écrit avec un rayon de soleil dans un petit coin de bleu, vestige d’un été migrateur parti ailleurs, dans ce grand ciel gris de ma bien belle Normandie d’octobre.
Lisez-moi, oui, lisez-moi avant la prochaine pluie qui viendra noyer de ses sanglots d’automne, mon amour ainsi déclaré.
Autant de mots autant de feuilles qui volent et volent encore, unis par des phrases en phase avec la nature, la saison qui ne chagrine uniquement les âmes oubliées, regardant nostalgique les fanes tomber. L’amour se cache en cette saison, plus discrète qu’au printemps période éclaboussée de lumière en fleurs, bien moins qu’en été également, par trop volubile et sophistiqué… Alors que l’automne offre dans sa douce torpeur mélancolique, le temps de caresser les mots qui viendront égayer vos soirées bucoliques.
Je vous écris de mon nuage, là où le vent vient tourner les pages tout en séchant l’encre de mes songes chimèriques. Je vous écris cette lettre, sans vous la poster, à vous d’en deviner l’existence, mes pensées effleurent les vôtres mes rêves plongent dans vos nuits, comme un poisson volant, étoile des océans, étoile des mers apprenez à m’aimer tout simplement.
Je vous aime, je vous aime tant, passe, passe le temps, le temps des cerises est bien loin celui des pommes, du cidre et du vin est bien là, à nous rosir les joues, puis cet amour qui de nous se joue, je vous aime d’un cœur fou, fou d’orage quand tombe la pluie, pleur le ciel pour qu’on ne l’oublie, je vous aime par tous les temps, de tout temps, je vous aime tout le temps qui passe, passe le temps celui des amants, celui qui se meurt en cœur saignant… Je vous aime passionnément, je vous le dis sans détour, juste en vous faisant la cour, mes baisers vous le prouveront, ce n'est pas du bouche à bouche, mais ce sont des braises ardentes… Ils ranimeront l’amour qui sommeille en vous… J’ai envie de vous serrer contre mon cœur, vous enlacer, vous parler tout bas, vous couvrir et vous brûler de mes caresses. J’ai envie de vous écrire des mots, les mots du silence dans l’oubli d’un matin, quand la pâle couleur du jour court après le soleil… Je vous aime, Madame...
JoDe.
Mon cher amour.
Mon Cher Amour,
Ma plume d’été se prend à flâner, tantôt dans la grisaille parfois sous le soleil, sans jamais trouver ses mots. Elle se souvient à peine de son vocabulaire ayant en plus perdu sa grammaire, et la main du poète que je pense être en ces instants de bonheur que nous vivons ensemble, ne peut lui redonner le sens du verbe. Alors le mutisme de ces deux orphelins que nous sommes, ma plume et moi, en peine et en panne d’inspiration, semble se conjuguer au temps de l’infini, évadés que je suis en des songes insoumis, dans lesquels tu te retrouves ou bien tu t’oublies…
Écrie malgré tout demeure mon meilleur moyen d’expression, je t’ai écrit, je t’écris, et je t’écrierai encore et toujours afin de ne pas rompre notre conversation née il y a si longtemps déjà, au regard de nos cheveux blancs. Tu aimes toujours ma poésie, mais il ne faudrait pas que les muses se montrent trop insistantes et confiantes, tout en sachant très bien qu’aucune ne pourra te supplanter dans mon cœur, tout en étant rassurée de savoir que mes plus belles poésies seront pour toi, mais ce que tu ne sais pas ! Le plus beau de mes poèmes pour toi, est encore en suspension entre page blanche et plume d’abondance…
Tu ne te demandes même plus le pourquoi de ces billets, étant donné notre très belle et intime proximité, tout en sachant que ton sommeil nous éloigne, le mien moins présent me permet alors d’exalter les sentiments qui nous lient, et de rompre nos silences nocturnes en les unissant en une union sacrée de par ces quelques lignes.
Et puis il faut dire que ne veux pas perdre le fil de notre histoire, l’amour étant justement fait d’histoires, la nôtre a le mérite de se dérouler dans la sérénité de la raison retrouvée, alors méfiant de ma sagesse, je ne la lâche pas et je vis sans cesse avec elle, pour ne plus la perdre, quoi de plus naturel et de plus plaisant en somme ? Véritable bain de jouvence pour moi de regarder s’écouler cette rivière d’argent jour et nuit illuminée d’étoiles de diamant, dans un univers de souvenirs parsemé de fleurs éternelles qui jamais ne se fanent comme les roses du paradis, (soufflée par une amie poétesse), tel est notre amour sur lequel tu veilles avec la plus grande attention…
Je ne compte pas effacer le passé, si celui-ci devait l’être ? Ma mémoire dans un déni séquentiel, ne me permet pas de juger… Ne pas effacer le passé ! Ni construire l’avenir avec mes réflexions dont le but est de te crier mon amour…
Je te quitte regardant ton sourire dormir, je t’attends demain matin, doux baisers mon amour.
De moi à toi, le 19 août 2016.
A vous !!! Que je ne connais pas...
A vous !!! Que je ne connais pas…
Quand bruinent les mots d’amour, ou des mots de tous les jours, sur l’océan agité de phrases bien vite oubliées, évitant tous récifs et écueils des tempêtes de la vie, ou bien venant provoquer de plein fouet le calme des rivages, je ne peux m’empêcher de penser à vous, puis de vous écrire…
Je, tu, il, nous, et vous… Vous !!! Qui êtes-vous ? Nous échangeons en tapotant sur nos claviers, sans parfois se prendre au sérieux… Ou bien alors de trop… Nos envies s’associent, nos détresses se rejoignent, nos révoltes grondent en harmonie, nos amours se heurtent, nos sous-entendus fusionnent, notre ambiguïté fonctionne, nos visions s’apprivoisent, nos réalités se diluent dans la virtualité, quand parfois la virtualité part au-devant de la réalité, ouvrant une brèche béante dans la raison… Nos conflits s’estompent, parfois se perdant dans les méandres de la scène des brumes… Pas très claires… Nos volontés s’unissent…
Vous, qui venez le soir, après votre journée de travail, conter vos fantasmes, sirotant un café, ou un apéro, donnant toute liberté à votre expression d’écrire, ne pouvant le dire… À ceux qui devraient l’entendre, quand donnez-vous du temps aux « vôtres », s’il y en a… Ceux qui attendent de vous, un peu de votre temps, de votre amour, de votre vous… « Vôtres » dont peut-être, je fais partie ? Alors de quoi je me plains ?
Vous !!! Dont la solitude qui est un choix, refoulé derrière cet écran, faisant mal aux yeux, en esquintant le dos, vous venez alors, confiante ou confiant, donner à qui le veut bien, amitié, tendresse, réconfort... Communiquant vos échecs et vos succès. Puis au travers de photos, vous vous faites un plaisir de partager, un moment, une situation, dont vous êtes fier. Tout cela avec un respect absolu en l’autre… Que je suis peut-être ? Je devrai en être fier…
Quand le vent de la tendresse pousse mes feuilles d’arbre en papier, pour en faire un tas, un tas de feuilles de cahier, relié par la spirale de l’incompréhension, sur lesquelles je vous griffonne ces mots, des mots noircissant un tas de feuilles mortes, d’arbres bien vivants, transformés en pâte à papier…
Vous !!! Toujours égale à vous-même, vous accordez vos plus, et vos commentaires chargés de délicatesse avec des mots à sensation forte, souvent à double sens, prêtant à confusion… Votre seconde nature certainement, un leurre pour idiot également… Puis vous rentrez dans le rang. Non pas à court d’argument, mais pour passer à autre chose… Cela sans ménagement sur le sort de vos prétendants…(dont je suis sans aucun doute ..)
Vous !!! Qui en voyant une photo, une vidéo, un tableau, en lisant une citation, un poème, ou bien des mots écrit dans les sables de rêves émouvants, vous vous extasiez tout en plaçant des commentaires en forme de cœur à prendre… Pour ensuite, réfuter les interprétations de vos propos, quand certains y répondent sans ménagement imaginant vos paroles en des avances déguisées ; vous fuyez criant au scandale, faisant appel aux modérateurs, vous ! Vous, vous offusquez… Bien que ce ne soit pas un site de rencontre… Il y a quand même anguille sous roche... Et cette anguille fume le cigare, car il y a même de la fumée… Où se trouve le feu ?
Vous !!! Qui dès les yeux à peine ouverts consultez vos mails en guise de petit-déjeuner… Répondant quelques fois à côté du sujet, tout en restant dans votre univers, sans autres préoccupations des commentaires… Que vous font vos « abandonnés » (que je suis peut-être) Alors que faire ??? Entamer un débat ou cliquer un + sans queue ni tête…
Vous !! De l’autre côté de l’écran blanc, de mes « nuits noires de suie » passées à comprendre, pour quoi ??? Autant de gentillesse et de grandes amitiés « virtuelles », alors que chacun d’entre nous est fâché avec la moitié de la terre, et ne s’entend pas avec l’autre moitié… Tout le monde, il est beau, tout le monde, il est gentil, moi le premier.
Vous !!! Qui sous un pseudo, un nom d’emprunt, un profil bas, très bas, parfois, venez prendre part à des discussions, pourquoi ne pas parler en votre nom propre… La vérité, et les non-vérités, sont plus simples à dire dissimulées derrière le voile de l’indifférence ?
Puis vous les plus nombreux si je ne m’abuse, comme un certain docteur, distribuant des plus, à tour de touches ininterrompu, alors qu’il y a quelques instants, je ne vous connaissais pas !!! Et ça pendant deux jours, huit, dix, quinze, des + encore des + en veux-tu en voilà, il en pleut comme de la Gravelotte… Avec un petit commentaire de temps à autre, je n’en reviens pas, je suis le plus beau, le plus doué, tous ces plus me donnent des ailes… Puis vous m’invitez dans votre cercle, je vais sur votre page ou mur ? Je ne sais jamais, cela m’a l’air sympa, donc je fais de même, je vous ajoute…. Et là !! C’est la déferlante, vous êtes le recordman du monde des posts, vous en faites mille à l’heure, ma boite mail est pleine à craquer de vos notifications… Je n’en peux plus je croule, je mets des plus à l’aveuglette, des moins... Non je ne peux pas… En contrepartie plus de nouvelles de vous !!! Plus ou extrêmement rarement de +…De votre part sur mes publications. Vous étiez en chasse d’abonnés…. D’accord OKAYDAC… Trop, c’est trop !!! Maintenant quand je suis invité, avant d’accepter, je vais voir la page en question, et s’il s’agit d’un « maître posteur », je m’abstiens de rentrer dans la « tour infernale » des post à tir Larigot, afin de ne pas terminer complètement timbré…
Vous !!! Oui, vous, avec votre petit coucou du matin, un rituel que l’on attend comme un rayon de soleil, un autre le soir pour le traditionnel bonsoir, avec quelques fois, un dans le courant de la journée… Quel plaisir, pas de superflu dans les commentaires, de brosses à reluire, de caresses dans le sens du poil, uniquement de la « politesse-sympathie… » Adressée à un réseau d’adhérents tissé dans un canevas d’amitié au fil du temps…(peut-être suis-je du réseau ?)
Vous !!! À la grandeur d’esprit sans commune mesure, sorte de Ménie Grégoire… De l’internet, toujours là pour endosser le malheur et les problèmes des autres, et de la terre entière, alors noyée que vous êtes dans les vôtres… Vos fac-similés de soi-disantes solutions miracles, ne sont que poudre aux yeux, d’espoirs vains, des mots écrits dans l’anonymat du silence de la bonne parole… Vous n’y êtes pour rien, c’est votre nature, le réel vous rejette, le virtuel vous offre l’impression d’exister, pour des perdus, des naufragés, de la vie souhaitée… Qu’il s’était espéré, mais l’espoir ne fait pas toujours vivre… Les désespérés… (Que je suis peut-être ???)
Les embrouilles, la débrouille, l’intérêt, le désintérêt… Tout cela nous entraîne dans d’indescriptible dénouement de théâtre de boulevard, que l’on met en scène selon notre bon vouloir… Ha ha, ah ah, ah ah… Premier rôle, metteur en scène, spectateur, pour exister dans une vie qui n’est pas la nôtre, ou celle que l’on désire… On s’y accroche malgré tout, de manière » à mieux y croire », la vérité, on n’en veut plus, pas celle-là… Une autre !!!
J’aurai envie de vous écrire plus longuement, mais une autre fois, nous avons encore tant de choses à se dire, (Surtout quand l'amour s'en mêle !!!! (s'emmêle)... ), pour mieux se critiquer, se dénigrer, se balancer, jusqu’à ouvrir des posts en privé, rien que pour nous… Puis j’aime quand vous sortez votre brosse à reluire, pour me faire briller, plus encore votre tube de pommade a couches multiples… Et vos caresses dans le sens du poil, tout cela en toute sincérité… Je n’en crois pas mes yeux !!! Je vis, je revis, je suis...
À plus tard mes ami(e)s…, il me faut aller mettre des commentaires, sur les commentaires sur mes posts, et les vôtres….
Internettement vôtre….
Quincampoix, le 19 juin 2015 la veille de la fête de la musique, ce qui n’a aucun rapport.
Ma chère amie
Ma chère Amie,
Matin d'amour, vous souvenez-vous ma chère ?
C'est un matin gris comme tant d'autres ici en Normandie, excepté que je ne suis pas seul dans ce grand lit... Hier soir sans vous faire prier, vous avez accepté dormir chez moi, pour éviter de rouler de nuit...
L'odeur du café réveille en vous une envie de câlin.
Cet imprévu, dans votre emploi du temps vous obligea à dormir nue, auprès d'un homme vous étant pratiquement inconnu physiquement, nos simples contacts provenaient de relations fréquentes et chaudes sur le net... Vous n'avez en aucun moment fait paraître une crainte quelconque, comme préparée que vous l'étiez,de ce qu'il vous adviendrait, cette nuit... Enfin vous abandonner à l'amour, si vos sentiments ne sont pas très clairs dans votre tête, votre corps longtemps délaissé, vous demande de combler ce manque, et se veut pour une nuit l'esclave de votre sexualité endormie, et réveiller en vous la femme que vous avez été, avec ses désirs, ses fantasmes, et ses orgasmes...
Après une nuit chaude d'amour ardent, vous vous éveillez, allongée sur le ventre, un genou remonté à la hauteur de la poitrine, le désordre du lit, laisse apparaître une épaule, un sein, une cuisse et un genou... En plus de la charnelle rondeur de votre fessier sous le drap. Vos yeux mi-clos sourient au matin bonheur, cela me donne à nouveau des idées, un échange de caresses et de baisers ravivent nos ardeurs, votre corps s'ouvre à moi... Je suis complaisamment disponible, pour permettre l'éclosion de ce minuscule bouton de rose érectile, qui épilation oblige, tapi dans un léger duvet pubien, ne demande qu’à éclore, ce que je fais du bout de ma langue, en une masturbation élaborée.
Vos murmures d'une sensualité sans pareils, ne font qu'accentuer mon érection, contrôlée d'une main douce et ferme, qu'est la vôtre, sur mon pénis, pour maintenir cet état de grâce...
Le tête-bêche devient indispensable... Votre impatient désir d'une « mise en bouche » attise le feu qui brûle en moi ; vos cuisses s'ouvrent sur mes lèvres, m'offrant la profondeur rosée de votre vagin, d'où perle une « éjaculation », de « ce suc » incolore, recueilli à coups de langue au dosage rythmé... Avec de temps à autre, une petite incursion sur les bords et en légère pénétration, de votre rectum, semblant chez vous, être une zone érogène des plus sensible, à en croire vos réactions, et vos frémissements...
Pendant ce temps, votre langue excite généreusement mon gland, avec de gourmande pénétration en votre cavité buccale, vous maintenez une activité soutenue, sans cesse : langue a la vivacité reptilienne, bouche goulûment vaginale... Cette alternance majestueusement orchestrée, ne pouvait aboutir qu'au résultat que vous sembliez souhaiter, puisque sans vous retirer, vous « avalez » les jets saccadés de sperme, nectar de mon éjaculation, œuvre de votre délicieux savoir-faire… Pour venir en conclusion, poser vos lèvres sur les miennes et partager le fruit de votre récolte en un long baiser, à la saveur de l’amour…
Vous reprendrez bien un café ?
Quincampoix, le 5 mai 2015
Vénus.
VENUS,
« Vénus pour toi », m'as-tu dit un soir !!! Depuis je suis perdu dans mes pensées, tu me procures rêves et songes, "Vénus est la déesse de l'amour, de la séduction et de la beauté dans la mythologie romaine". Et toi ma belle amie, tu t'es offerte à moi en tant que telle, j'accepte cette offrande comme un cadeau du ciel, tu ne pouvais me procurer plus de plaisir... Car tu ne m'as pas offert uniquement ta beauté, et ta séduction, mais également l'amour... Celui-ci envahi mes nuits.
Par tes mots de ces derniers jours, avec en apothéose le : "pour toi, Vénus", puisque je ne fais pas qu'une simple lecture de tes commentaires, mais tu me les fais tant vivre, et en sus, je t'imagine à un tel point, que te ressens comme une égérie des temps modernes. J'aurai préféré te côtoyer dans les jardins de MONET, les ateliers de CLAUDEL, les cafés théâtres de boulevard, ou bien que sais-je encore, à la comédie française, ou à ces rendez-vous mondain... Au lieu de cela, c'est par clavier interposé, que tu me fais vibrer...
Depuis ce doux billet, mon fantasme ne fait que croitre, à m'en faire rêver la nuit... Et il serait égoïste de ma part de conserver cela pour moi seul, et ne pas t'en faire profiter, toi l'instigatrice de ces doux moments d'érotisme solitaire, surtout!!! ne soit pas choquée, ne te sens pas offensée par cette écriture, influencée par la sensualité de la Vénus qui sommeille en toi... Voici ce rêve...
"Ma Chère Amie, toi la vénus de mes nuits, qui se complais de s'offrir à moi en tant que telle dans tes courriels, tu ne cesses par tes doux propos aux allusions divines, et aux visions issues de mon imagination, d'attiser en moi des désirs jusqu'ici inassouvis... Pour en transformer mon sommeil en un gigantesque champ d'amour et de sexe. Ce matin encore, juste là à mon réveil, je sens comme une tiède humidité enveloppée mon pénis, puis je me souviens t'avoir aperçu il y a quelques instants, dans la plus belle des nudités, revêtue d'un simple voile à la sensuelle transparence, tu flottais dans mon imaginaire, tes mains d'une infinie douceur, avaient eu raison de ma fausse pudeur... Jusqu'à en faire jaillir la semence du plus profond de mes désirs, longtemps retenu prisonnier en mon glaive... D'où la présence de ces traces de "salissure" sur mon ventre, et les draps. Ton sourire vainqueur, tes yeux pleins de malice, la blancheur de tes seins et de tes cuisses, donnaient encore relief à mon ardeur... Tu t'empressais de la calmer, en posant un index sur mes lèvres en guise de "chuuuttt", puis retournais poser les tiennes, là où tu venais de triompher, pour y déposer quelques baisers gourmands... Avant de disparaître dans les aurores de l'amour accompli. »
mai 2015....