Le rire du président.
Le rire du président
Il arrive un moment.
Tu ne sais plus qui tu es.
Tu t’oublies par errements,
En tes spirales cérébrales.
Tu te perds, tu te transformes.
Tu illumines, tu fais croire.
Avec des illusions tristes et mornes,
En un devenir bien meilleur…
Tu te crois puissant ! Dans tes rêves…
En réalité de plus en plus seul,
Quand certains abandonnent le cortège,
Recouvert d’un jaune linceul…
Tu as tout brisé comme un enfant,
De ce qu’une minorité t’avait confié,
Seuls ton manque de sentiments,
Et ton impuissance, émerge de ta médiocrité.
Tu seras bien isolé sans descendance.
Face à ton destin et ton rire jaune,
Personne pour pleurer ta déchéance,
Quand tu seras déchu de ton royal trône…
Tu t’es cru arrivé et bien installé.
Avec ton sourire narquois, et ton arrogance,
Ne te reste que tes yeux pour pleurer.
Tu étais bien trop petit pour la France !
Joël Delaunay.
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